Je vois ça comme le syndrome de la musique papier-peint : on l'entend, on ne l'écoute pas. A cela s'ajoute la musique fonctionnelle, qu'on consent à écouter uniquement parce qu'elle a une fonction précise, souvent danser.Dream Drummer a écrit :Ce qui me fascine c'est à l'inverse le "no-care" total du contemporain lambda qui va se foutre royalement de la différence entre un mp3 écouté sur laptop et un SACD, [.../...] Société de l'image où l'on ne saurait pas écouter ?
Par ailleurs, rares sont les gens qui "cherchent" "leur" musique, la plupart de nos contemporains prennent ce qu'on leur donne, y a que des glands comme nous autres pour s'échiner à continuer à creuser ce genre de sillon.
Pour en revenir au sujet initial, je ne suis pas sûr du tout qu'il y ait un lien, je ne me sens pas du tout un obligé de l'analogique par exemple.