Tony Williams

[jpdrummer]

Je me souviens avoir dévoré un article de lui en 97 je crois, dans le batteur mag, et d'avoir fantasmé sur son kit Gretsch jaune et ses Cs black dot. La dw jaune avec les cercles rouges aussi...

Cependant, j'avoue ne pas connaitre du tout, mais vous m'avez donné envie de découvrir, merci les gens

[olive bleue]

Oh oui Tony!!
Les disques où je l'adore sont Maiden Voyage d'Herbie Hancock et Out to Lunch d'Eric Dolphy.
Encore une fois, il faut replacer cette musique et le jeu de Tony Williams dans son contexte.
Hallucinant de jouer cela de cette façon il y a 50 ans, d'avoir cette maturité aussi jeune.
Un de mes tout préféré, tiens!

[doume]

http://www.ladrummerie.com/viewtopic.ph ... 72#p580972

Je me permet de reposter ça c'est too much

[ellipse]

merci doume

[Geronimo]

@ Jipé, je te recommande très chaudement le disque "Nefertiti" de Miles Davis.
Pour moi, c'est LE album qui montre à quel point ce mec était un ovni ^^

Au passage, j'en profite pour faire une correction car je crois avoir écrit une coquille quelque part dans ce topic :
Tony sur l'album Nefertiti n'avait pas 17ans mais environ 22ans. Il est rentré dans le quintet de Miles à environ 17ans mais l'album Nefertiti sera enregistré en 1967. Le premier album de Miles sur lequel apparaît notre grand Tony étant "Seven Steps to Heaven" (1963)

« ... Je n'ai pas fait passer d'audition à Ron, je l'avais déjà entendu, mais il a répété avec nous. j'avais aussi entendu Tony Williams, un batteur de 17 ans qui travaillait avec Jackie McLean, et qui jouait si bien qu'il avait failli me faire disjoncter. Tony allait être un des plus fabuleux musiciens qui se soient approchés d'une batterie. Tony était mon élu, et Frank Butler, de LA, n'a fait qu'un intérim jusqu'à son arrivée. On a joué à LA où je voulais enregistrer de la musique. Victor Feldman assurait comme un dingue. Pour la séance on a utilisé deux de ses thèmes : le titre qui a donné son nom au disque et Joshua. Je voulais qu'il entre dans l'orchestre, mais il gagnait une fortune dans les studios de LA et aurait perdu de l'argent en venant avec moi. Je suis revenu à New-York en cherchant un pianiste. Et j'ai trouvé Herbie Hancock. »

— MILES L'AUTOBIOGRAPHIE, Miles Davis avec Quincy Troupe. Presses de la Renaissance. 1989.

++

[jpdrummer]

je jetterai une z oreille dessus alors