Alors c'est surement une chose élémentaire et acquise pour la plupart mais voilà la question que je me posais, enfin que nous étions plusieurs à nous poser à propos du chanfrein parce que moi mes cours de techno, ils sont loin mais alors loin... Sur le schéma qui montre une vue en coupe de celui-ci, la partie biseauté, c'est bien ça qu'on nomme le chanfrein et son sommet devrait être plat si j'en crois les commentaires du plan. Hors aucune de mes caisses ne possèdent un "méplat" vraiment plat, je crois qu'on dit comme ça (là ça fait redite mais bon,c'est pour moi), du coup je m'interroge, voyez j'veux savoir
depuis le premier post on trouve des explications erronées:
le chanfrein n'est pas une arête, mais la découpe provoquée par la suppression de l'arête intérieure (ou extérieure); cette opération dégage un "bearing edge", une arête porteuse, dont la principale vertu est d'être rigoureusement plane (et non plate) si l'on finit la taille des chanfreins par une arête vive, même si celle ci est rigoureusement plane, sa résistance mécanique est sérieusement remise en question sur les deux premiers millimètres par la pression latérale extérieure que lui applique la tension de la peau.
devant ce challenge (rester plan et aussi peu plat que possible pour ne pas mater l'harmonique), on (je) convient de laisser l'arête sur un pli (vertical) plat, parce que c'est dans ce sens que les fibres supporteront le mieux la pression.
Etant donné que l'épaisseur d'un pli 90's est grosso modo de l'ordre du petit millimètre, une fois qu'on a affiné la coupe des biais (chanfreins) intérieurs et extérieurs par une passe de papier de verre et une frotterie de paraffine on peut considérer que le plat s'est douci et transformé en demi-rond .
les caisses des années 2000 sont en multiplis beaucoup plus fins et collés à des pressions de malade; le bois s'apparente plus à un support pour colle qu'à une noble matière vivante et vibrante.
" the surest sign that intelligent life exists elsewhere in the universe is that none of it has tried to contact us"
Merci pour ces explications, que je pense avoir compris cette fois... Donc il n'est pas obligatoire d'avoir une arête (sur le schéma de la taille d'un pli) qui soit plate. Il faut cependant que la surface soit plane sur la circonférence de l'arrête, excepté à l'endroit ou se loge le timbre (snare bed ?)... c'est bien ça ?
Hé bé c'est miraculeux avec l'encéphale à la consistance de yaourt que je me trimballe en ce moment...
Soft, tu as le feu vert pour écrire un ouvrage de vulgarisation sur la terminologie batteristique, je souscris et même pour un second qui titrerait : "l'heuristique du concept destinée aux cerveaux réfractaires" 1er volume les moins de 11 ans, celui qui me concerne...
merci Soft, eh ben voilou, fô appeler un chat un chat c'est tout !!
pareilleuh pour les snare bed ...
"plat" dand l'épaisseur du fût (la peau touche la tranche....nooon) ou chanfreiné,
un snareuh bède "plat" (différent de "arrondi" =progressif -) sur la circonférence
ou un fût bien plat...("plan"...
si on met du "plat" partout, ça met les pieds dans le plat...
bon je sens que mes remarques tombent à plat...allez bonsoir !
Question (probablement idiote mais le demandeur ne vaut pas mieux ) : j'ai un bloc de paraffine et honnêtement je me pose la question quant à l'application sur le chanfrein : faut-il frotter le bloc sur le chanfrein, de manière à étaler des "miettes" et ensuite chauffer gentiment le chafrein, ou alors chauffer le bloc, de manière à ce que le liquide coule sur le chanfrein et ensuite l'étaler propnet ?
Tu frottes ton bloc direct sur le chanfrein, t'en mets bien partout, et ensuite tu frottes fort avec un chiffon et de cette façon, la paraffine va chauffer et pénétrer le bois.